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La haine féministe et le suicide masculin
Les privilèges féminins

Nous l'avons vu, les hommes hésitent à s'engager, sachant les dangers qu’ils courent si les femmes sont enceintes. Les enfants étant la monnaie d'échange ou le passeport vers une vie libérée de soucis financiers. Si ce ne sont les hommes qui paieront, alors ce sera l'État. Le besoin d'enfants n'a rien à voir avec l'égoïsme féminin. Les véritables raisons, jamais évoquées, sont, sans conteste, le désir d’assurance financière de la part de l’épouse et le fait que les hommes n'ont plus confiance. Dans l'intérêt des enfants, selon les mots consacrés, les femmes modernes peuvent se permettre unilatéralement d’élever des enfants sans père. Le demi-siècle de féminisme qui a échaudé les hommes ne semble pas avoir pénétré l'intelligence moyenne de la femme moderne. La meilleure façon pour une femme de sécuriser un flux continu d'argent est d'empêcher son ex-mari d'obtenir la résidence alternée. L'immense majorité des femmes divorcées font tout ce qui est en leur pouvoir pour interdire à leur ex-mari l'accès à leurs enfants communs. La ségrégation des hommes d'avec les enfants est l'outil principal utilisé par les femmes désireuses d'obtenir un revenu sans cesse croissant, mais aussi par les entreprises désireuses de s'acheter la paix sociale sous l'œil des groupes de pression féministes.

Être un homme aujourd’hui est un véritable cauchemar. L’identité masculine se sent écrasée par les demandes paradoxales des femmes où une société tout entière est obnubilée à satisfaire le moindre des désirs féminins, dans la législation, la morale, la publicité et les techniques de reproduction. On a désormais l’impression qu’une guerre des sexes est, à nouveau, très largement engagée ou les anciens supposés dominés sont les nouveaux dominants.

 

 

Les hommes sont majoritaires pour dire que la publicité et les médias les traitent comme sans valeur ou comme objets sexuels. Plusieurs phases de déstabilisations les ont fait souffrir, en particulier dans les années soixante et soixante-dix lorsque la révolution morale et l’égalité (pour les femmes seulement) fut à son apogée. Depuis les « Golden Boy », les gays ou le type « Rambo », les hommes ont vu exploser devant eux des multitudes de modèles. Puis vinrent le chômage, la globalisation et la faillite du modèle masculin technocratique de la société qui prévalut en France. Le groupe le plus inconfortable est sans conteste celui des 25 à 35 ans que le magazine définit comme étant le plus féminisé. À cet âge, Il n’est pas rare de cultiver une image de gay pour accéder à la féminité. Derrière l’abandon de leur virilité, les métro sexuels espèrent trouver la fusion homosexuelle avec la femme. La disparition de la différenciation des sexes.

Encore des livres.

 

Le danger c’est d’écrire ce qui est banal. L’autre danger c’est d’écrire ce qui ne l’est pas.

Islam et Propagande

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