PATRICK SCHEFFER

Le danger c’est d’écrire ce qui est banal. L’autre danger c’est d’écrire ce qui ne l’est pas.

Livres

La femme moderne ne peut être satisfaite. Ses connections cérébrales sont très différentes de celles des hommes. Elle recherche le conflit, l’instabilité et le drame. Elle argumente sur des insignifiances par son besoin de réassurance et sa quête de sécurité. C’est une créature menée par ses émotions et illogique dans ses raisonnements. Elle construit en permanence des pièges pour y faire tomber ses proies. En conséquence, les hommes doivent sans cesse prouver leur engagement, leurs loyautés et leurs motifs devant le tribunal féminin.

En se sentant devenir étrangers dans leur propre pays, les français et européens ont intériorisés une réaction préventive aux mœurs étrangères imposées dans l’espace public. Les règles alimentaires religieuses s’imposant dans leurs assiettes, ils cessent en masse leurs achats de viande en supermarché. Pour la première fois on assiste à un retour aux achats de proximité. La traçabilité n’étant qu’un prétexte au refus des citoyens pour la transformation structurelle de la société.  Les boubous, djellabas et autre Niqab ont graduellement construit le schisme envers l’islam et l’immigration en général. Des mosquées impressionnantes édifiées avec l’aide de subventions déguisées au programme scolaire accommodé, les nations cèdent devant la prise de contrôle idéologique des territoires européens. Le Ramadan, cette fête de l’égorgement arriéré est désormais ostensiblement intégrée chez les publicistes et gauchistes mondains mais repoussé par le français moyen. Les violences faites aux femmes, agressions et trafics sont le quotidien des banlieues ou sont concentrés la plupart des immigrants musulmans. L’explosion de la délinquance, en particulier chez les très jeunes démontrent une passivité sinon de l’encouragement de la part des premiers immigrants a une africanisation rapide de la société française. L’impossibilité de se déplacer sans risque pour sa sécurité n’est plus l’apanage des grandes villes. 

L`influence du féminisme est devenue un monopole par l`établissement d`une force politique aux confins infinis. Avec de l`argent public et privé, les féministes dominent toutes les nations occidentales et sont en passe de parvenir à instrumentaliser les Nations-Unies pour pénétrer les nations du Tiers-Monde. Les preuves de leur influence croissante sont légions. Parmi elles, le nombre exponentiel de groupes de femmes dans tous les pays du monde, la somme extraordinaire d`argent public qu`ils obtiennent, la somme non quantifiable de couvertures médiatiques qu`ils reçoivent, le nombre de ministères aux Affaires féminines, le nombre des Études féminines dans les universités, payées par les contribuables, la quantité de textes de loi depuis la dernière guerre mondiale d`inspiration féministe, ratifiée par les parlements, le nombre de programmes de discrimination à rebours adoptés par toutes les nations et les informations biaisées formulées par les éducations nationales occidentales concernant les problèmes féminins.

Un des particularismes communs à toutes les idéologies est celui de ne jamais admettre une opinion divergente. Tout autant que les religions, les idéologies ne concèdent que les monopoles. Celui ou celle désirant convaincre un idéologue de son erreur se heurtera au vide de sa pensée formatée.
 

Les idéologues ont un besoin insatiable à être écoutés. Leur argumentaire est gravé dans le marbre. Tout refus à se soumettre équivaut à une déclaration d’hostilité.
Une fois la guerre déclarée, tout contradicteur sera a jamais écarté, ses arguments ou les faits s’y rapportant seront ignorés et sa notoriété décrédibilisée.